Tout a commencé par un pinceau et du latex.
J’étais maquilleur dans un parc d’attractions. Je transformais des visages, mais j’ai vite eu envie d’aller plus loin — de sculpter directement les créatures que j’imaginais.

De fil en aiguille, la sculpture est devenue mon langage.
Dans mon atelier, je revisite la pop culture des années 90-2000 : héros fatigués, biscuits torturés, créatures trop mignonnes pour être honnêtes.
Je les détourne avec amour et humour noirs, parfois trash, mais toujours avec second degré.

Mon univers oscille entre réalisme minutieux et humour macabre, quelque part entre Pixar et Lovecraft.

Tout est fait à la main, du moule aux finitions, avec la patience d’un artisan qui aime voir la matière prendre vie.